Un auteur écrit une pièce (sa dernière) sur le thème du bonheur. Ne parvenant à la finir, il se croit lui-même fini. Mais en plongeant à l’intérieur de son texte, à l’intérieur de lui-même et à l’intérieur de son frigidaire ( !), il se retrouve à l’extérieur de l’Univers, découvre le bonheur et l’infini. Et si l’infini existe alors… tout n’est pas fini
Télérama TT : Jouant avec les mots, naviguant entre logique et noirceur, tendresse et absurdité, Gauthier Fourcade nous rappelle que “sans rêve, l’homme ne vit pas vraiment”.
Figaroscope ♥♥ : On le retrouve tel qu’en lui-même : tendre, poétique, pratiquant l’absurde et la métaphysique tendance Devos comme un des beaux-arts.
Pariscope : Dans une suite grandiose de jeux de mots et de logique, de digressions et d’envolées lyriques, se perdant dans les méandres de sa pensée joyeusement tordue, Fourcade nous dévoile « l’heureux passage » pour accéder au Bonheur… Et le temps de ce spectacle, l’artiste nous rend simplement heureux, car son esprit brille et son humour scintille des éclats de l’intelligence.
La Provence ♥♥♥ : Gauthier Fourcade fait partie de ces personnages un peu lunaires dont l’activité principale est de jouer avec les mots, de les lancer à la tête des spectateurs, de les regarder rebondir, se briser, se multiplier ou se perdre. On rit beaucoup. Il faut prêter attention à cet artiste, le bonheur est dans le prêt ! Allez le voir !
La Marseillaise : "Humour cinglant, l'acteur jongle avec les mots et les étire pour en faire de la poésie. (...) Avec finesse et logique, il pointe du doigt le véritable problème qui empêche d'être heureux : savoir ce que l'on veut vraiment. Le fils spirituel de Raymond Devos nous emmène ainsi dans une aventure burlesque et profonde dans laquelle le seul risque que nous pourrions prendre en se rendant à ce spectacle est de recevoir des éclats de lune dans la tête"
Froggy’s Delight : « Gauthier Fourcade nous enchante à nouveau dans ce spectacle plein de malice. Ce spectacle ravive l'enfance et sa découverte naïve du monde et du langage. Il plaira aussi bien à ceux qui ont gardé ce côté facétieux qu'à ceux qui aiment être déroutés, qui prennent plaisir à vaciller ... le temps d'un spectacle. »
A la Manufacture des Abbesses à Paris, du 16 janvier au 9 mars 2013
Disponible en tournée dès l’automne 2013